|
Grâce
à la Convention de Vie Lycéenne et Apprentie, passée
entre la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur et le Lycée
d’Apt, la Journée lycéenne est reconduite pour la 9e
année consécutive. Chacun des lycéens d’Apt pourra
voir un film et échanger avec le/la réalisateur(trice) en
fin de séance.
Cette année, le nombre de « Classes festival » passe
à 3 ! Ces élèves verront chacun au
moins 5 films de la programmation et bénéficieront de rencontres
privilégiées avec les cinéastes, qui leur permettra
d’avoir une vision plus complète de ce qu’est un festival,
et d’approcher différemment les cultures du continent africain. |
|
|
De
nombreuses projections seront proposées aux collégiens grâce
à l’appui du Conseil général.
Certaines séances sont également ouvertes aux classes de CM1
et CM2
Les films présentés au public scolaire sont issus de la programmation
du festival : L’Oranais, Le veau d’or, Printemps tunisien,
Adios Carmen, Ady Gasy, Des étoiles, Molii, Peau de colle, Lily slame,
Selma, Twaaga |
|
|
Un grand
nombre d’élèves étaient candidats au jury lycéen
depuis mars.
Les neuf élèves qui ont été retenus ont reçu
une formation, visionnant une trentaine
de films, échangeant régulièrement afin de développer
leur culture cinématographique.
Ils seront encadrés par Tahar Chikhaoui, universitaire tunisien,
critique et Directeur des Rencontres des Cinémas Arabes AFLAM (Marseille).
Le palmarès sera proclamé lors de la soirée de clôture
du festival le 14 novembre.
octobre 2014 : rencontre entre
le jury lycéen et Tahar Chikhaoui (au centre)
Dans la continuité du festival, les lycéens
partiront du 29 novembre au 5 décembre aux
Journées cinématographiques de Carthage, en Tunisie. Pour
financer ce voyage, ils ont mené
différents projets tout au long de l’été. N’hésitez
pas à les soutenir : une boîte à dons est à
disposition à la billetterie.
“À l’autre
bout du film”
Avec ce projet, les élèves de seconde option Arts Visuels
de Raphaël Jost s’impliquent d’une
manière originale dans le festival. Une installation, rue Gambetta,
entre le cinéma et le local du
festival, pour travailler sur le concept de connexions et les possibilités
de tisser des liens avec
les cultures africaines, à partir de productions sur le thème
de la communication, de l’échange
et du dialogue.
|
|