« Alors que je n’arrive pas à me rendre dans mon pays, je décide de faire un détour. Je déambule dans la ville de Tunis à la recherche de ma langue d’origine, l’algérien. » Nina Khada. Dans la continuité de Fatima, la réalisatrice poursuit, à partir de Tunis, l’exploration, par les moyens du cinéma, d’une partie de son identité.