Avec « Zombies », Baloji nous transporte dans un Kinshasa halluciné, d’un salon de coiffure à une discothèque où la lueur bleue hypnotisante des écrans de téléphones portables rivalise avec les néons du dancefloor.
Avec « Zombies », Baloji nous transporte dans un Kinshasa halluciné, d’un salon de coiffure à une discothèque où la lueur bleue hypnotisante des écrans de téléphones portables rivalise avec les néons du dancefloor.