Adel, employé chez un fleuriste à Tunis, est amoureux d’une femme qui passe chaque jour devant le magasin. Au hasard d’une livraison, il la rencontre. Dounia, directrice d’une agence bancaire, est riche et indépendante, elle est inaccessible. Chaque matin Adel lui livre, incognito, des bouquets de fleurs. Dounia finit par découvrir le « pot aux roses »…
A travers ce conte universel, une part de la société tunisienne se révèle. L’artère principale de Tunis devient elle-même un personnage où les Tunisiens se croisent, se regardent, tissent des rapports solidaires ou conflictuels, toutes catégories sociales confondues.