En kinyarwanda, Imfura signifie premier-né. Gisa se rend dans le village de sa mère qu’il n’a pas connue. Comment prendre la mesure des enjeux liés à la maison en ruine d’une victime du génocide rwandais ? Gisa cherche à faire sienne la mémoire collective meurtrie. Le film est une fusion de documentaire et de fiction.