Lamine, on voudrait que tu nous parles de ton été à Alger, que tu le filmes, que tu le mettes en images, cet été si particulier des cinquante ans de l’indépendance de l’Algérie…» Telle est la première phrase du film ! Par où commencer ? se demande le réalisateur : il déroule alors une série de chroniques qui sont, en fait, huit fragments équivoques – d’où le titre du documentaire – et autant d’histoires poétiques, énigmatiques, historiques, formant une mosaïque complexe de la ville d’Alger.