Nianankoro est sur le point de recevoir le savoir (le komo) destiné selon la tradition bambara à lui assurer la maîtrise des forces qui l’entourent. Au cours de son voyage initiatique, le jeune homme va devoir affronter la jalousie et la colère meurtrière de son père qui supporte mal de voir son fils sur le point de l’égaler.
« Ce voyage initiatique d’un jeune homme poursuivi par la haine de son père, c’est Ulysse victime des dieux jaloux, c’est Jason et Thésée, et le Christ aussi. Raconter les grands mythes de l’humanité avec une ‘lumière’ nouvelle, c’est probablement la définition des grandes œuvres. Yeelen est une grande œuvre. Et une grande œuvre ça veut dire, d’abord, un immense plaisir ».
(Jean-Michel Frodon – Le Monde)
« Yeelen est le plus beau film de l’histoire du cinéma africain ».
(Charles Tesson – Cahiers du Cinéma)