Avec ce bref travail, la réalisatrice fait connaître le douloureux rituel du tatouage des gencives auquel sont soumises les femmes pour faire ressortir de leur sourire le blanc de leurs dents. Mais elle le fait avec un regard moderne, en faisant appel à l’ironie, au montage rapide, à la musique effrénée des djembés. Presque un clip sur une tradition peu connue.